mercredi 28 mai 2008

Mais qui étaient-ils ces Chevaliers ?...

La bulle de plomb, qui servait à sceller les actes officiels de l'Ordre. Document : Ordre de Malte
Le Grand Maitre des Chevaliers de Malte : Philippe Villiers de l'Isle-Adam (1521-1534)

Vaguement vous l’avez entendu raconter…

A CRIMOLOIS, assez proche de la Comté,
En l’année onze cent soixante trois, vécurent
D’étranges Chevaliers qui pansaient les blessures.

De Manoirs en Manoirs, ils allaient apaisant
Les Seigneurs ; défendaient l’éternel paysan.
On voyait galoper l’Ecuyer sur les routes.

En leur Maison restaient, comme en une redoute ;
Ceux qui ne se disaient que des hospitaliers ;
Jamais aux malheureux se donnaient à moitié !
Le Gîte et le Manger, en leur fameuse Auberge ;
Etaient toujours offerts, tels la barque à la berge
Pour franchir le ruisseau, tels l’asile au manoir ;
Tant pour les pèlerins que pour l’homme d’un soir :
Soit Seigneurs déguisés, soit un pauvre transfuge.
Jamais frappait en vain qui cherchait un refuge.
Et c’était légendaire ( Aux bons hospitaliers
Il vaut mieux s’adresser que chez les templiers !)

CRIMOLOIS eut l’honneur d’être première halte
La première, chez nous, des chevaliers de malte.

On s’en souvient trop peu.
La route aux chevaliers,
La Maison et chapelle aux Servants familiers :
Clergé, noblesse et peuple !
Autrement on veut dire
Aujourd’hui, Cependant !
Pour et Contre il faut lire.
Vos chevaliers de Malte ont laissé souvenirs
De ces hommes de cœur qui savent bien Servir.

Pour le peuple ils étaient des étonnants gendarmes
Et des hospitaliers qui séchaient bien des larmes.
En ces temps, l’on cherchait mieux que faire un constat ;
L’église aidait en mère et le peuple et l’état.

Le Renest.

lundi 26 mai 2008

Au grand platane de l'ex R.N 5







Aujourd'hui, 25 mai 1992, le grand massacre commence.
Un à un, j'ai vu tomber dignement tous mes frères avec un grand bruit de souffrance.
Moi, le plus gros, le plus grand, je ne ne me suis pas rendu du premier coup, malgré la puissance de leurs grosses machines modernes ; au premier coup, ils m'ont juste ébranlé et le câble a cassé.
Je suis resté debout fièrement, amputé, mon sang (pardon, ma sève) mélangé à la sciure en tas à mon pied, j'ai ¼ d'heure de répit, mais ils ont eu raison de moi, et maintenant, étendu de tout mon long (Dieu ! Que je suis grand !) sur cette route que j'ai protégé du soleil pendant plus de 100 ans, je repense à tout ce que j'ai vécu.
Oh ! Je sais que mes voisins me maudissaient pour mes feuilles imputrescibles qui bouchaient leurs chêneaux et leurs caniveaux, et à l'automne, envahissaint leurs jardins ou leurs pelouses ; mais je sais aussi qu'ils m'admiraient et aimaient me regarder frémir au moindre souffle de mon ami le vent.
Les pies que j'abritais ont bien de la peine et doivent chercher un autre que moi pour construire leurs nids, jusqu'en haut si l'année n'est pas trop venteuse, disaient les anciens, ou plus bas, si le vent souffle fort le jour des Rameaux.
Bien sûr, j'ai eu de la peine lorsque quelques imprudents ou quelques désespérés venaient mourir à nos pieds, mais ce n'était pas notre faute ; pourquoi nous accuser et nous condamner pour moderniser la route ?
Au début de ma vie quand Napoléon III, alors Président de la République, nous fit planter sur les chemins reliant la préfecture aux villes principales pour abriter ses préfets et ses hauts dignitaires qui se déplaçaient en calèche (Dame ! Le voyage était long en ce temps là), la route était faite de cailloux que les cantonniers et les prisonniers cassaient sur ses bords pour boucher les ornières au fur et à mesure des passages ; en ai-je vu des belles dames aux longs jupons et en chapeaux, aussi larges que les champignons paraboliques qui poussent maintenant sur vos toits, des messieurs en hauts de formes et habits noirs recouverts de fine poussière blanche que projetaient les roues de leur équipage.

J’ai vu des hommes et des femmes du village se rendre à pied à Dijon avec leurs
Charrettes à bras pour vendre leurs légumes au marché, ou pour prendre le train à Neuilly ;
J’ai vu pendant longtemps les paysans avec leurs chevaux et leurs chariots.
J’ai connu cinq ou six générations d’enfants qui traversaient la route près de moi
pour aller à l’école.
Je connaissait bien le tilbury de la sage- femme, toujours pressée celle-là. j’ai assisté à la naissance de l’aviation et j’ai suivi son évolution,mais ces derniers temps les mirages de la base aérienne toute proche me faisaient trembler jusqu’à mes racines.
Dans les années 20, j’ai vu passer les coureurs du tour de France, les boyaux sur les épaules ; en ce temps là ils devaient réparer seuls, et les crevaisons étaient nombreuses sur la route empierrée, le français René Vietto portait fièrement le maillot jaune, malheureusement il a chuté à l’entrée de Dijon et n’a pu repartir.

J'ai perçu le sifflement et le halètement des locomotives à vapeur et le simple frémissement du T.G.V de passage. J'ai entendu les cloches sonner tant de fois : baptêmes, communions, mariages, messes, mais aussi hélas les enterrements, même trois fois par jour lorsque le défunt était du village, l'Angélus à midi et à 7 heures pour appeler les ouvriers dans les champs ; toutes mes feuilles ont frissonné en ces jours d'été d'août 1914 et septembre 1939 où elles annonçaient la mobilisation générale, puis la déclaration de guerre ; enfin plus joyeusement pour l'Armistice en 1918 et la libération en 1944.

Cher clocher millénaire qui me faisait face, je te souhaite une longue vie, tu es le seul maintenant à dominer le village de Crimolois.
J'ai aperçu de haut de ma cime les grandes inondations de 1965 et 1967, souvent l'Ouche est sortie de son lit pour venir rejoindre l'Oucherotte, où se trouvaient jadis les moulins qui ont donné leur nom à notre commune, mais je n'étais pas encore assez grand pour les voir.

J'ai vu défiler les casques à pointes des Prussiens, j'ai entendu résonner sous mes branches les pas cadencés des envahisseurs, leurs chars et leurs motos. J'ai vu emmener les ouvriers pour le S.T.O. j'ai vu passer des résistants libres ou enchaînés ; enfin avec un grand frémissement de soulagement j'ai vu arriver nos soldats et nos alliés. J'ai participé à la joie de tous, je vous ai vu danser sur la place.

Puis la vie à repris et sont venues les motos , les voitures de plus en plus nombreuses et de plus en plus rapides ; j'avais à peine le temps de les voir passer...

J'étais votre mémoire, je faisais partie de votre vie, de votre commune, et maintenant, que vais-je devenir ? meubles ou bois de chauffage ?

Moi le plus grand, le plus majestueux des platanes de l'ex-nationale 5 ?

D.Voinet

L'ORDRE DE MALTE A CRIMOLOIS


L'ouvrage de M. Raoul CHEVREUL "Les Commanderies bourguignonnes de l'Ordre Souverain de Malte", mérite notre attention.
Dans cette plaquette consacrée, comme l'indique son nom aux Commanderies Bourguignonnes, il est question de Crimolois. Dans l'étude faite sur la Commanderie de la Magdeleine de Dijon, on lit :

"Elle est l'une des plus anciennes, sinon la plus ancienne commanderie de l'Ordre de Malte en Bourguignonne. Installés d'abord à CRIMOLOIS, sous la juridiction du grand prieur de Champagne, les Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem en 1170 fondent un Etablissement à Dijon, à l'entrée de la ville, près de la porte Saint Pierre, et y créent définitivement une commanderie de leur ordre. Les restes de celle-ci, en même temps que quelques pierres tombales ( dont une est exposée au musée archéologique de Dijon) seront retrouvés à la fin du 19ème siècle, et l'emplacement en sera situé avec exactitude sur l'actuelle place Wilson.
Cette commanderie se développe rapidement : de nombreux dons lui sont faits, et elle possède des domaines dans plusieurs villages.
C'est ainsi qu'elle possède des propriétés et des droits seigneuriaux à Crimolois, Thorey, Fenay, Marsannay, Sacquenay, Varanges, Fauvernay, Dijon, Gemeaux, Saint Julien, Villers-les-Pots, Mirebeau, Fontaine-Française, Beire, Tarsul, Neuilly, Arcelot, Flacey, Pluvet, Bressey, etc..."
L'auteur se livre ensuite à l'histoire de la Commanderie de la Madeleine.Voici sa conclusion :
"On peut situer aujourd'hui le deuxième emplacement de la Commanderie de la Magdeleine de Dijon, à l'angle des actuelles rues Hernoux et Amiral Roussin. La majeure partie de l'église subsiste encore, après avoir subi de nombreuses transformations : plusieurs appartements y ayant été créés."
"La pièce la plus intéressante est le portail renaissance de l'église de la Magdeleine, qui a été récemment restauré et constitue un très bel ensemble architectural."
"A Crimolois, il existe encore plusieurs vestiges de l'établissement des Hospitaliers : l'église, deux maisons, des restes de la ferme, et peut-être aussi un ancien souterrain. De plus leur souvenir est rappelé par la croix de Malte qui figure dans les armoiries de cette localité"

Le fait qu'une de nos rues porte le nom de "La Magdeleine", est certainement à rattacher à l'histoire des Chevaliers de Malte et à leur présence, chez nous...Crimolois.


Lors de la réfection de la couverture de l'église et du clocher, en 1979, par l'intermédiaire de M. Chevreul, le maire avait sollicité une subvention de l'Ordre de Malte. Un don de 5000 Fr, à titre exceptionnel, avait été obtenu. Ceci établit une permanence de la présence de l'Ordre de Malte, chez nous ...à Crimolois.



Bulletin municipal "Chez nous à Crimolois"


Les Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem à Crimolois

Pendant près d'un siècle et demi : de 1163 à 1307, le séjour à Crimolois de l'ordre des Hospitaliers de Jérusalem - qui plus tard prendra le nom de Chevaliers de Rhodes établis à Chypre en 1191 vendue aux Templiers 1 an après. Chevaliers de Rhodes de 1309 à 1522 ou Soliman le magnifique les en délogea, devenus Chevaliers de Malte le 24 mars 1530, puis Chevaliers de Malte - aura marqué profondément, non seulement la vie du village, mais toute la contrée.


Les articles qui suivent sont extraits pour la plupart d'une documentation rassemblée par un érudit local, le Père de Mollon, curé de Neuilly, qui s'est particulièrement intéressé à leur séjour dans la région :


- Un premier article replace en son temps l'existence de cet ordre de chevalier de l'époque médiévale.


-D'autre nous précisent ce qui reste aujourd'hui, tant à Crimolois qu'à Dijon, du séjour des Hospitaliers.


-Deux poèmes du Père de Mollon, (signés Le Renest), où il nous dit avec toute sa sensibilité de poête, comment il perçoit ce passage.


Malgré leur précision, il se peut que quelques erreurs se soient glissées dans ces documents, notamment pour quelques dates. Nous n'en admirons pas moins le fouillé des recherches de ces auteurs.

"Conte-Moi mon Canton" Dijon II
D.voinet et Hubert Chambin

Hommage en chanson à Alix De Vergy

La Duchesse, Alix de Vergy, a fait don en 1208, aux hospitaliers de Crimolois et aux chevaliers du temple de la Magdeleine, d'un moulin banal situé à la limite de Crimolois et de Fauverney, plus une rente sur son péage de Dijon.

Rendons hommage à cette noble Dame avec cette chanson :

Aux Bourguignons, leur Anne de Bretagne
Etait Alix, des Sires de Vergy ;
Qui belle fille, en plaine et en montagne,
Affectait là deux rutilants logis.

De son manoir, dans l'arrière-côte,
Plus rien ne reste, en son Etang-Vergy
Sinon pour rire et pour grimper la côte,
Qu'un raidillon qui nous mène au vieux nid.

Un de nos Ducs de la fière Bourgogne*
S'éprit d'Alix et alla dénicher ;
Eudes l'aimait ; Alix point se renfrogne :
Elle est heureuse et sait pas pleurnicher.

Elle devint notre belle Duchesse
Que nos aïeux aimaient d'un très grand coeur ;
En son carrosse, acclamaient la richesse
De cette fille, et la chantaient en choeur.

On disait d'elle :"elle est bien trop jolie,
Pour être veuve à ses trente cinq ans ;
Malgré son or, elle a pas de folie,
Ne sait qu'aimer, s'attacher à ses gens."

Tous lui rendaient. Beaucoup étaient fous d'elle,
Un tout chacun, quand venait la saison ;
La revoyait, tous, comme une hirondelle,
Quand elle allait visiter leurs maisons.

Hugues, son fils, parti pour la croisade
Avec St Louis, par un autre chemin ;
Tout escorté d'écuyers sans bravades
Mais aux coups durs, sachant donner la main.

Et veuve et seule, elle fit deux régences,
Passant son temps à régir le pays ;
Tant et si bien qu'arrivent des finances
Aux bonnes gens, tout à fait ébahis.

Ne voulut pas dormir dans son nid d'aigles
Mais reposer aux pieds de son château ;
Et c'est ainsi -malgré qu'on fût espiègle-
Que Saint-Denis fut pour elle ...Cîteaux.

Refrain .

C'était Talant(1) et c'était Rouvres-en-Plaine
Où se plaisait la belle Châtelaine
Auteur inconnu
(1) Château de Talant construit par Eudes III sur le plateau acheté aux religieux de St Bénigne ( au célèbre abbé Guillaume) de 22 toises de long sur cinq de large avec rez-de-chaussée, un premier étage et des combles, le tout recouvert de tuiles noires et blanches. Aux deux extrémités, des tourelles demi-rondes, la Tour du Trésor, la Tour des Armures, portes sur terrasse au rempart crênelé.

Annotations faites de la main de l'Abbé De Molon :

* Du temps du vieil Abbé Guillaume, en été 1199, mariages d'Alix avec Eudes et Simonette avec Anséric.

** 1218 Mort inopinée de son mari (parti pour la Croisade) à Lyon le 6 juillet, sous Philippe Auguste, Alix rend ses devoirs féodaux à Hugues Burgey -orthographe incertaine-, mandé par le roi (Vergy investi depuis 1187).
En 1220, Alix s'engage à respecter les privilèges de la commune de Dijon ;
n'enverrait pas les 100 ou 200 chevaliers en terre sainte, sous garantie d'Anséric de Montéal, son beau frère.

*** Hugues, marié en 1231 avec Yolande de Dreux .
avec St Louis ( 1236-1248) portant la croix sous Grégoire IX.

Les coutumes ancestrales de Crimolois

Il y a 25 ans, Crimolois avait encore ses coutumes ancestrales :
La veille d'un mariage, les garçons allaient le soir devant la demeure de la jeune fille
et tiraient des coups de fusil pendant 5 ou 10 minutes ; ensuite ils tendaient
la pelle pour recevoir la brioche que le futur beau-père devait arroser copieusement par une tournée générale.
La veille de Pâques, les garçons ( toujours eux), dès la nuit tombée, parcouraient
les rues en s'arrêtant devant les maisons oû il y avait des jeunes filles et chantaient sur l'air des " ALLELUIA":
C'est pas des oeufs que nous voulons! mais c'est la fille de la maison
Si il y en a deux, nous choisirons ;
Alleluia !
Quand ils avaient bien chanté, le maître de maison ouvrait la porte et leur donnait des oeufs ou de l'argent, parfois les deux : ils allaient alors au café se faire confectionner une énorme omelette bien arrosée.
Dans la nuit du 30 avril au 1er mai, ce sont les garçons qui posaient des '' mai'' devant les maisons
des jeunes filles. Les branches qu'ils avaient coupées dans la journée indiquaient la qualité ou le défaut de la belle !
Du charme pour celle qui en avait.
Du lilas pour les vieilles filles ( reste-là)
Et du sapin pour celles............
Il y en avait peu, il faut l'avouer.
Le dimanche suivant, ils venaient les retirer mais le maître de maison devait (arroser) si non, il retrouvait sa brouette, ses fagots ou tout ce qui était dehors, sur la place du village.
**************************
Le 14 juillet, c'était fête pour tout le monde, le matin, les hommes allaient chercher le litre de vin et le kilo de sucre auquels ils avaient droit;
Les femmes tiraient au sort une pièce de vaisselle.
Les enfants recevaient des friandises.
L'après-midi, les jeux battaient leur plein dans la cour du café (quilles, rondeau, pêche, pour les enfants, billes, ballon...)
Et le soir, grand bal avec orchestre.
*************
Les coutumes n'étaient pas toujours aussi gentilles; combien de candidats aux élections municipales, n'ayant pas obtenu assez de voix , se sont retrouvés le lendemain matin, avec une veste pendue à leurs portes ?
D.VOINET

Quelques brèves de la vie à crimolois


En 1938 le village a servi de cadre au film ( Jeannette Bourgogne) réalisé pour promouvoir les écoles publiques et leurs services . Jeannette, jouée par Blanchette Brunoy, sort de l'école normale à dijon et vient prendre son premier poste d'institutrice à Crimolois.
En arrivant dans cette classe unique pour tous les enfants jusqu'au certificat d'études (pas de quota en ce temps là) se souvient de son enfance, elle se revoit à la crèche, puis à la maternelle et enfin dans la classe préparatoire au certificat d' études. L'école de la maladière toute neuve et moderne à été choisie.
Toute la classe dont je faisais partie à été sélectionnée, mon grand rôle réciter : une fable de La Fontaine! Nous sommes allées à Coutivert dans le morvan où le cercle läique possédait une maison de santé genre sana, gratuite, au milieu des pins...
La semaine suivante, nous avont continué le tournage à Crimolois. A 11 ans, je ne pensais pas qu'un jour je viendrais habiter ce village.
Plus tard avec les enfants de l'école nous avons joué dans la cour de la ferme et avec les habitants, les élèves déguisés ont imité une cérémonie de mariage et ont tenu des rôle montrant la vie courante du village.
Quelle émotion au milieu du paisible train- train quotidien !
Ce film, nous avons pu le revoir plus de 30 ans après grâce à Dominique Malvasio alors président des (roseaux).
. D.VOINET

mercredi 21 mai 2008


Terrain de Basket

Le millénium

Le millénium de Pierre DUC

Le Club de Tennis de Crimolois





S'inscrire auprès de la Présidente.

Madame Michelle CLINQUART
11 rue Sénateur Jossot
Tel. 03 80 47 33 41

Tarifs 2008
Habitant Crimolois : Adulte 25 €
Enfant (-18 ans) 20 €
Etudiant 20 €
Badge invité 25 €
Famille 40 €
Extérieur Crimolois : 1 seul tarif 40 €


1ère inscription : achat - d'un badge 10 €
- clé de court 5 €
Ouverture :
avril à novembre

Réservation par badgage sur panneau près du court.

Spot n°68 - Page 23

Le pressoir


Pressoir à vin en décoration devant la mairie.
don de monsieur Michelot

Salle d'Honneur de la Mairie

Salle où ont lieu : les mariages, vins d'honneur, voeux du Maire, réceptions, quelques fois votes, etc...

.

Entrée principale de la mairie

Ouverture

Lundi 10-12h
Mardi 10-12h
Mercredi 16-18h
Jeudi 16-18h
Vendredi 10-12h





Contacts :
Téléphone 03 80 47 00 29
Fax 03 80 47 38 52
Mail mairiecrimolois@wanadoo.fr
Site internet http://www.crimolois.fr/


La bibliothèque est ouverte le mardi soir de 17h à 19h et le samedi matin de 10h à 12h.

L'entrée de l'epn




L'actuel epn
est l'ancienne
bibliothèque.

L'epn est ouvert
le lundi de 14h30 à 16h30
et le mercredi de 17h à 19h.

L'Ouche : concours photo du Grand Dijon

Jour de pluie



Thème : l'eau
Photo du concours photos du Grand Dijon

Notre salle d'informatique

Nous avons quatre ordinateurs et une imprimante.

Au bord de l'Ouche

Photo qui a été présentée pour le concours photos du grand Dijon

lundi 19 mai 2008

Présentation

A l'Espace Publique Numérique, nous formons maintenant un groupe de 10 personnes motivées, depuis la création de l''EPN début octobre, nous avons abordé le traitement de texte sous toutes ses formes : élaboration d'un texte, insertion de photos, de tableaux et la mise en page.

Ce qui a été mis en pratique le 22 novembre 2006 et le 28 novembre 2007, lors du « marathon des webmagazines », cette journée a eut pour but d'initier les participants au journalisme numérique par la réalisation d'un magazine sur la commune de Crimolois, magazine consultable sur le site internet du Grand Dijon.

Bien evidemment, l' apprentissage d'Internet tient une part importante dans nos activités, la communication : l'e-mail, la messagerie instantanée, les forums, mais aussi la recherche d'informations, les sites pratiques, le téléchargement, etc.

Nous travaillons aussi sur la conception graphique, avec la réalisation de cartes de noël et par la suite des albums photos personnalisés.

Chaque année s'oganise « la semaine de l'internet » où le thème de la photo numérique est abordé, nous organisons alors un atelier photo avec prise de vue en plein air et nous mettons nos meilleures photos en ligne qui sont notées par les internautes du site du Grand Dijon.

Pour s'inscrire à l' EPN, rendez-vous à la mairie.

L'animatrice de l'EPN de Crimolois, Audrey LORPHELIN